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    Je n'aimais guère l'été

    Jusqu'à ce qu'un soir tu poses

    Tes yeux de toute beauté

    Sur ma jeunesse perdue.

     

    Je n'aimais guère danser

    Jusqu'à ce qu'un soir tu l'oses,

    Ce pas qui nous fit valser ;

    Oui, ma jeunesse perdue,

    C'est toi qui me l'as rendue.

     

    Désormais, je bois l'été

    Avec force gourmandise.

    Qu'il dure une éternité,

    Que rien de rien ne m'en prive !

     

    Avec toi, je veux danser.

    Quoi que l'aube nous prédise,

    Dansons, sans même y penser,

    Dansons, quoi qu'il nous arrive,

    Quoi que l'horizon décrive !

     

     

     

     

    Dansons

    10429 © 2019


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