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Par [ Fabrice Parisy ] le 24 Juillet 2019 à 00:00
Je n'aimais guère l'été
Jusqu'à ce qu'un soir tu poses
Tes yeux de toute beauté
Sur ma jeunesse perdue.
Je n'aimais guère danser
Jusqu'à ce qu'un soir tu l'oses,
Ce pas qui nous fit valser ;
Oui, ma jeunesse perdue,
C'est toi qui me l'as rendue.
Désormais, je bois l'été
Avec force gourmandise.
Qu'il dure une éternité,
Que rien de rien ne m'en prive !
Avec toi, je veux danser.
Quoi que l'aube nous prédise,
Dansons, sans même y penser,
Dansons, quoi qu'il nous arrive,
Quoi que l'horizon décrive !
10429 © 2019
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