Très éloigné du parapluie de Brassens...
Une nostalgie de l'âme bien joliment écrite.
Tout en finesse. L'ennui t'est créatif, à défaut de te consoler.
Bises poète éclairé.

Bonsoir Fabrice, cette nostalgie du passé, ne pas la prendre pour la fin du monde, juste un échec amoureux qui fait place à une autre rencontre, qui sait, bien plus durable... ne jamais désespérer... bonne nuit, bises, JB

Nostalgie de ton p'tit coin de parapluie pour retrouver ton p'tit coin de paradis ! Bravo l'artiste.

Bises et bon jeudi Fabrice

il est bien gai ce temps des flaques dans lesquelles nous sautions les deux pieds joints ! je m'y reprends encore quand personne ne me voit 

amitié .

Joliment évoquée cette nostalgie du passé que l'amour comblait 

Bonne journée Fabrice 

Bises 

Bonjour Fabrice,

De l'hepta.  Paul doit jubiler dans sa tombe.

Un jeu subtil de reprise des rimes dans les sizains. 

Bref : un régal.

Et, en communion avec Bécaud, il ne te reste qu'à attendre "Le jour où la pluie viendra..."

Amitiés,

Pierre.

Bonjour,

"Mélancolie, bonheur d'être triste" disait Hugo.

On ne piétine plus les flaques, on passe même à côté,

mais le poète sait les voir océans pour fourmis sur leur navire-brindille.

le temps de l'insouciance... reviendra

c'est super joli mais si l'est une chose dont je ne m'ennuie jamais c'est bien de la pluie! Bisous

Une nostalgie si bien décrite, Fabrice ! 

Doux vendredi,

Bises ♥

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Cela me rappelle mon enfance quand je rentrais de l'école avec mes grosses galoches et que je sautais à pieds joints dans les flaques !!